RUNNING : Green Runners Challenge, courir pour la planète !
Ce jeudi 8 décembre sonnait comme une évidence pour marquer la journée mondiale pour le climat, le respect de la planète : 42 minutes d’effort comme les 42 kilomètres et quelques d’un marathon pour penser à préserver l’environnement.
Voilà le challenge inclusif lancé en ligne pendant 4 jours à ceux qui le souhaitaient, qu’il faut réitérer sans modération ! Découvrez le manifeste du Green Runner ici.
Nous sommes allés à la rencontre de ces nombreux Green Runners qui ont adopté des gestes éco-responsables dans leur façon de courir et dans leur quotidien. Plus de 50 000 inscrits ont répondu présent, comme Mathilde : « Je suis partie trottiner avec mon mari, une fois n’est pas coutume avec un sac poubelle pour ramasser les déchets qui étaient sur notre route. Nous ne sommes pas revenus les mains vides ! »
Sylvain a profité de l’occasion pour faire une sortie en famille : « Peu importe le froid, en courant avec mes enfants qui me suivaient à vélo en pleine nature, je leur ai rappelé à quel point notre environnement était précieux, un message que j’aime rappeler dès que c’est possible. »
Courir en pensant à la planète quoi de plus inspirant pour Vincent quasi-débutant en running : « Respirer à pleins poumons dans la campagne Normande, quelle chance ! Merci pour ce défi ! Me mettre enfin sérieusement à la course à pied sera la bonne résolution de la nouvelle année pour perdre mes 10 kilos en trop et qui sait faire un jour un marathon ! »
LE SCHNEIDER ELECTRIC MARATHON DE PARIS ADOPTE LES BONS GESTES POUR LA PLANÈTE
Ce défi fut une nouvelle occasion pour chaque « Green Runner » de réaffirmer sa position en faveur de l’environnement et notamment ceux qui se préparent pour le 2 avril prochain en vue du 46e Schneider Electric Marathon de Paris, premier marathon neutre en carbone au monde !
Être un Green Runner c’est courir pour soi mais aussi pour la planète en consommant mieux, en mangeant local comme Frédéric souriant après ses 42 minutes de course : « Pendant ma préparation marathon, je fais attention à mon alimentation en évitant les produits industriels. J’achète des fruits de saison en profitant du circuit court, je vais au marché à vélo je fais 15 km et en rentrant je me prépare mes propres plats. »
Tania rencontrée plus loin n’hésite pas à s’investir pour préserver la planète : « Je n’achète plus les yaourts, je les fais moi-même, j’utilise mes pots que je ne jette pas. »
Le « Do it Yourself » est l’une des priorités de Valentin pour qui ce challenge était une évidence : « À la maison on fait nos propres produits ménagers, notre liquide vaisselle, lessive et savons en suivant des tutos depuis 3 ans. » Même philosophie éco-responsable pour Bérénice : « Je fabrique mes produits cosmétiques comme les gommages, masques pour le visage. »
Nelson s’organise au mieux : « J’essaye d’adapter ma consommation dans le souci de ne pas jeter, de ne pas gâcher. Je fais mes courses au quotidien pour pas que cela pourrisse dans mon frigo. »
Pour Yaël cela passe par « acheter avec moins d’emballages, pour certains produits comme les céréales, amandes, graines le plus souvent en vrac. »
FAIRE DU SPORT EN PENSANT À SON MATÉRIEL, SON BIEN-ÊTRE ET CELUI DE LA PLANÈTE
42 minutes pour se rappeler en courant les bons gestes pour préserver l’environnement, c’était une bonne idée pour Vanessa qui a déjà son habitude éco-responsable : « Entasser des piles de t-shirts de course dans mes placards ce n’est pas mon genre, je préfère les donner pour le recyclage et puis cela me fait davantage de place pour ma garde-robe. »
Recycler, donner une seconde vie à son matériel, Go Sport, l’un des partenaires du Schneider Electric Marathon de Paris, contribue à sa façon à ces actions en « récupérant des chaussures usagées qui ne sont plus utilisables pour être recyclées en pistes cyclables. »
Avez-vous pensé à louer votre équipement de sport ? Pour Nicole croisée en plein effort et qui ne fait pas que courir, c’est oui : « Pour mes sorties vélo quand il y en a plus à la borne à côté de chez moi, je vais dans un magasin pour une location, c’est pratique, pas encombrant et cela m’évite de polluer en ville. »
Préserver son matériel c’est aussi préserver la planète comme nous l’a expliqué Antoine à peine essoufflé après ses 42 minutes : « Je limite la consommation de mes équipements pour ne pas être dans la surconsommation. Quand un vêtement est usé ou troué j’en tire au maximum profit, j’essaye de le faire durer le plus longtemps possible, je ne change pas d’affaire dès qu’il y a un souci. »
Choisir des équipements éco-responsables pour sa pratique sportive ce n’est pas très compliqué, Victor qui a aussi relevé le défi privilégie « les t-shirts en coton bio » depuis qu’un ami lui a suggéré l’idée.
AVOIR LE RÉFLEXE DES ACTIONS ÉCO-RESPONSABLES DU QUOTIDIEN
Pour garder sa beauté, la planète a besoin d’un Green Runner qui adopte les bons gestes dans sa vie de tous les jours. Nombreux sont ceux qui l’ont rappelé à l’occasion du Green Runners Challenge.
Comme une évidence pour Quentin : « Je réduis mes transports, je ne me déplace qu’en voiture électrique, je n’ai pas de bouteille à usage unique. »
Nathalie va à l’essentiel : « Mon acte quotidien est de trier mes déchets, à une petite échelle c’est ce qu’il y a de plus simple à faire. »
Michelle a trouvé la solution : « Je n’utilise pas de voiture, je privilégie pour mes déplacements les transports en commun comme le tramway, le vélo mais c’est plus compliqué comme là en hiver. »
Daury joint l’utile à l’agréable : « Pour aller au travail, je prends mon vélo qu’il fasse chaud ou froid, cela me permet en même temps de faire mon entraînement. »
Thomas a le bon réflexe : « J’opte pour l’eau du robinet dans une gourde plutôt que les bouteilles en plastique. Si en compétition je fais de longues distances, gobelets et écocup sont les bienvenus. »
Valérie applique une règle essentielle : « Je fais de la course ou du vélo en ultra-distance et je m’oblige à ramasser quelques déchets. Je ramène tout avec moi. »
Le plogging devenu à la mode est une habitude pour Olivier : « Je suis de Marseille, je me souviens d’un ramassage de bouteilles, de canettes le long de la plage amenées par la mer un lendemain de tempête. C’était incroyable. Je cours beaucoup dans les Calanques, je ramasse les détritus au gré de mes balades et entraînements. »
Être Green Runner c’est aussi transmettre les bons gestes pour la conservation de notre environnement. Sensibiliser ses proches aux gestes éco-responsables c’est l’une des préoccupations de Laurence : « J’ai trois enfants que je responsabilise sur l’écologie, pour qu’ils ne jettent pas les déchets n’importe où dans la rue et qu’ils pensent à éteindre les lumières. »
La planète a besoin de tous ces Green Runners pour transmettre les gestes qui ont du sens et ainsi permettre un avenir plus responsable ! À l’entraînement, en compétition mais aussi dans la vie de tous les jours, n’hésitez pas à participer à la plus belle course de votre vie, celle pour préserver l’environnement. La planète n’attend que cela !
Rendez-vous le 1er avril prochain pour une nouvelle course engagée !
Plus d’informations à venir sur time to.