RUGBY : Et si nous déjeunions au Saint Nectaire ! Par Jacques PEPINO
Evidemment avec notre rosé supérieur de la semaine dernière…
Evidemment avec notre rosé supérieur de la semaine dernière, pas question de se noyer dans l’eau des montagnes ou des rivières bougnassières.
Comme disent les gens avertis, c’est un déplacement à haut risque, mais nous avons pris le bon biaou et pour cette rentrée des classes nos minots ont bien appris leurs leçons.
A l’image de Mathieu, ils ont tous affuté le sabre d’abordage et la canine qui espille la proie comme un loup affamé devant des régardellis, ils sont prêts à envahir la bergerie des pampas auvergnates nos commandos des nuits dominicales.Tu vas me dire qu’ils nous attendent sur leur trône de sapins qui frissonnent dans l’ombre et vu l’heure dictatoriale nous risquons de jouer avec des moufles et un ballon congelé, alors si j’osais, je leur conseillerais à nos futurs esquimaux une vieille combine de nos aïeux, qui pour rester pimpants sur la banquise de Dardennes, se massaient les guiboles au vieux marc de Provence, celui des alpinistes du Garlaban.Enfin, ils feront comme ils voudront, pourvu qu’ils estrampignent l’ennemi héréditaire, qu’ils fassent vibrer le râtelier des anciens et promener les plus jeunes sur le vire-vire rouge et noir.
Je me la rigole un peu, mais tout de même, ça va être mariole…
Par Jacques PEPINO, éditorialiste des ZACRAU
PS : M. Bayle, infusé parmi tant d’autres dans la tisane ovaline, a précisé qu’à Toulon nous donnons plutôt des coups que des coupes… Alors je l’invite à partager 36 coups, de pastagas des collègues évidemment.