VOILE : SKAW Sailing – Cap sur la Mini Transat, l’aventure commence
Les pontons s’animent, les voiles claquent au vent, les sourires se mêlent à une tension palpable.
Dimanche 21 septembre, Benoît prend le large pour l’une des aventures les plus intenses qui soient : la Mini Transat.
Avant de larguer les amarres, Benoît a pris le temps de partager quelques mots en vidéo. Il y raconte ce qui fait la magie de cette course :
- Un petit bateau de 6,50 m face à l’Atlantique.
- Une traversée en solitaire, sans assistance.
- Des choix stratégiques cruciaux dès les premières heures, entre vents changeants et houle encore capricieuse.
Le complice invisible : le pilote automatique
Sur un Mini, chaque minute compte. Et pourtant, on ne peut pas tenir la barre jour et nuit sans relâche. Cette année, un allié précieux a été renforcé : le pilote automatique.
Les temps fort du départ – Dimanche 21 septembre
Tout commence sur les quais des Sables-d’Olonne :
- 11h30 : Mise en configuration de course
- 12h30 : Les skippers larguent les amarres. La sortie des pontons est un moment d’émotion, au milieu des applaudissements et des derniers regards échangés.
- 15h30 : le coup de canon retentit. La Mini flotte s’élance vers l’océan. La côte disparaît, et avec elle, tout ce qui n’est pas la course.
La Mini Transat, c’est plus qu’une régate. C’est une traversée de 4 000 milles, deux étapes (Les Sables → Canaries → Guadeloupe), et surtout un défi humain où la résilience et la passion priment sur tout le reste. Chaque nuit passée à régler les voiles, chaque lever de soleil au milieu de l’Atlantique, chaque choix stratégique pris seul au monde… tout cela fait la beauté de cette course.

















