CYCLISME : Tour de France 2023, EKOÏ a joué quotidiennement les premiers rôles !
Entre confrontation pour la victoire finale, bataille pour le gain des étapes, échappées aux longs cours et autres barouds d’honneur, la savoureuse 110ème édition du Tour de France a tenu les passionnés de cyclisme en haleine jusqu’à la dernière étape.
Durant 3 semaines, EKOÏ a joué quotidiennement les premiers rôles et a pesé sur la course grâce à ses 4 équipes : Cofidis, Israël-Premier Tech, Arkéa-Samsic et Lotto-Dstny.
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La surprise basque du chef
On ne l’attendait pas à pareille fête, mais n’est-ce pas le propre du Tour de France de révéler aux yeux du grand public un coureur dont les qualités intrinsèques rivalisent avec celles des plus grands champions. La deuxième étape, aux faux airs de Clàsica San Sebastiàn pourtant promise aux puncheurs, voit Victor Lafay (Cofidis) déjouer tous les pronostics en plaçant une attaque violente à la « flamme rouge ». Sans jamais se retourner et dans un effort d’une intensité prodigieuse, il coiffe les favoris sur la ligne et se pare du maillot vert. La Grande Boucle s’élance à peine du Pays-Basque et Ekoï n’a pas fini d’être aux avant-postes.
Puy, la tour…tière canadienne
Quelle est la recette d’une victoire historique ?
Prenez un départ du village natal de Raymond Poulidor, coureur français rentré au Panthéon des légendes populaires, ajoutez une arrivée au sommet du mythique Puy de Dôme, non gravi par le Tour depuis 35 ans et vous obtenez une étape nerveuse dans laquelle toutes les équipes rêvent de briller. Lors de cette 9ème étape, Michael Woods (Israël-Premier Tech) réalise une véritable Master class ! Présent dans la bonne échappée du jour et bien que débutant l’ascension finale avec plus de 2 minutes de débours par rapport à la tête de course, il revient froidement sur chacun de ses adversaires, les déposant instantanément pour s’imposer en solitaire à 1465 mètres d’altitude.
Et pour finir le beaujolais millésime 2023 !
Lorsque Ion Izagirre (Cofidis) prend l’échappée matinale de la 12 ème étape, l’Espagnol n’est pas là pour « vendanger » ses chances ! Dans le Col de la Croix Rosier, il décide de fausser compagnie aux autres coureurs et s’enlève ainsi une belle épine du pied. Un choix qui ne sera pas vain… Les 30 kilomètres qui le séparent de Belleville-en-Beaujolais sont favorables à un homme seul et à l’arrière son coéquipier Guillaume Martin sème la discorde auprès des poursuivants, lui offrant ainsi sur un plateau sa deuxième victoire personnelle sur un Tour de France (après 2016). L’année 2023 restera comme un cru exceptionnel pour la formation dirigée par Cédric Vasseur !
Le panach (é) la combativité comme ingrédients pour marquer les esprits
Certains pourront voir le verre à moitié plein et relèveront qu’à plusieurs reprises la victoire d’étape s’est jouée à quelques centimètres, sur une chute ou encore en raison d’une erreur de placement, mais quel Tour de France réalisé par les équipes partenaires d’Ekoï !
Comment ne pas féliciter la formation belge Lotto-Dstny comptabilisant pas moins de 3 deuxième place : Caleb Ewan sur le circuit automobile de Nogaro (étape 4), Maxim Van Gils au sommet du Grand Colombier (étape 13) ou encore Pascal Eenkhoorn à Bourg-en-Bresse (étape 18). Plusieurs échappées à mettre au crédit de Pascal Eenkhoorn, Maxim Van Gils, Jasper de Buyst, Frédérik Frison et surtout de l’inépuisable Victor Campenaerts viennent parfaire un bilan honorable. Le baroudeur belge a été l’un des coureurs les plus pugnaces de la Grande Boucle comme en témoigne ses deux Prix consécutifs de la combativité (étapes 18 et 19) mais surtout son élection comme Super Combatif du Tour 2023. Une récompense qui met en relief le travail accompli par ce « roule toujours » et qui permet à « Campi » d’avoir le privilège de monter sur le podium des Champs-Elysées.
Saluons la persévérance des coureurs d’Arkéa-Samsic très régulièrement positionnés à l’avant de la course dans les échappées : Simon Gugliemi (étapes 1 et 7, 17), Laurent Pichon (étape 3), Anthony Delaplace (étapes 4 et 8), Warren Barguil (étapes 10, 15, 19 et 20), Mathis Louvel (étape 11), Luca Mozatto (étape 13) ou encore Clément Champoussin (étapes 14 et 17). Cette omniprésence quotidienne a été récompensée par deux Prix de la combativité décernés à Pichon et Gugliemi pour leurs fugues réalisées en partie solitaires !
Mention spéciale à l’équipe Cofidis qui a été l’une des formations les plus offensives de cette 110 ème édition. Toujours à la manœuvre, les nordistes ont dynamité la course et ont pris du plaisir à jouer sur plusieurs tableaux. Tout d’abord, Bryan Coquard s’est glissé dans plusieurs échappées avec l’objectif de marquer de précieux points lors des sprints intermédiaires. Le « Coq » termine 4ème lors des étapes s’achevant à Nogaro et à Moulins et se classe 3ème au classement final du Maillot vert. De son côté, Guillaume Martin s’est battu quotidiennement pour rester au contact des grands favoris. Son acharnement est gratifié puisque le grimpeur français décroche une très satisfaisante 10ème place au classement général final (sa meilleure performance après sa 8ème place en 2021).
A l’image de Victor Campenaerts, un autre coureur s’est illustré à de maintes reprises pour son aisance dès que la route se cambrait… Avec 8 échappées à son actif, le letton Krists Neilands (Israel-Premier Tech) a marqué de son empreinte cette Grande Boucle de par sa détermination, son endurance et son courage suite à sa chute spectaculaire lors de la 15ème étape. Avant cela, le jury lui avait remis le Prix de la Combativité lors de la 10ème étape.
« Des amuses gueules » plébiscitant les nouveaux produits
Le Tour de France « is the place to be » et le moment idéal pour arborer un nouveau look, surtout si celui-ci peut octroyer de précieux gains.
Le 1er juillet 2023, jour du Grand Départ, Ekoï dévoilait à la presse son tout nouveau casque Aerodinamica et le mettait à disposition de ses 4 équipes partenaires. Particulièrement plébiscité par l’ensemble des coureurs quel que soit le profil de l’étape proposé, le tout premier casque de vélo dessiné par le célèbre designer automobile italien Pininfarina a crevé l’écran durant 3 semaines. De sa forme spécialement étudiée en soufflerie en passant par l’intégration de la nouvelle technologie sécuritaire Koroyd®, l’Aerodinamica a été l’un des casques les plus visibles particulièrement dans les échappées. Confort, design, légèreté, aérodynamisme et sécurité, ce casque cumule les points forts et sera disponible pour tous sur le site web Ekoï (www.ekoi.com) en septembre prochain. D’ici là, le casque Ekoï Aerodinamica sera présent sur les routes de la Vuelta d’Espaῇa (du 26 août au 17 septembre 2023).
Les lunettes Ekoï Ottimo sont l’autre nouveauté de cet été 2023 et n’ont pas manqué de retenir l’attention des spectateurs. Leur look très fashion et leur large choix de coloris différents ont été appréciés par les cyclistes professionnels. La France n’est-elle pas après tout le pays de la mode ? L’autre atout majeur de ces lunettes est sans nul doute leur large écran HD de fabrication française. La qualité de la vision est prépondérante, dans le choix des trajectoires notamment pour garantir un pilotage précis à vitesse élevée. Dans les descentes, les sprints ou les ascensions de col, les lunettes Ekoï Ottimo offrent un confort et un maintien « excellent » (ottimo signifie excellent en italien). A partir du 4 août, les pratiquants pourront découvrir les 12 couleurs disponibles sur le site web Ekoï.
Enfin, le Tour a également été l’occasion de découvrir pour la première fois en compétition les lunettes Carbon 28. Leur forme anatomique particulièrement enveloppante s’adapte aussi bien pour les visages masculins que féminins, leur maintien et leur légèreté sont une aubaine en plein effort, comme en témoigne la victoire de Victor Lafay.
Des innovations technologiques pour ne pas faire rimer champion et « cuisson »
Lever les bras sur le Tour de France n’est jamais le fruit du hasard. Le niveau entre les meilleurs coureurs de la planète est tel que la victoire peut se jouer sur des détails, dans lequel le matériel occupe évidemment une place prépondérante. Prévoyante, la marque Ekoï avait anticipé que la chaleur serait un paramètre important dans la conquête des étapes.
Durant plusieurs mois, Ekoï a développé, grâce aux retours d’expériences des coureurs de l’équipe Israël-Premier Tech, deux maillots aux fibres textiles thermorégulantes intelligentes : le Graphene et l’Outlast®.
Le textile Graphene (porté par Michael Woods lors de sa victoire au sommet du Puy de Dôme) génère une dissipation de la chaleur de plus de 32% en comparaison avec un maillot standard, grâce à ses fils horizontaux en graphène disposés sur l’avant et l’arrière du maillot, des points les plus chauds aux points les plus froids. Cette régulation thermique préserve l’organisme, qui dépense moins d’énergie pour se rafraîchir. Cette économie induite favorise l’endurance et donc la performance.
La technologie Outlast®, développée initialement pour la NASA et mise à disposition pour la première fois des cyclistes, participe activement et en continu à la régulation de la température corporelle. Pour simplifier, lorsqu’il fait chaud, la fibre textile absorbe la chaleur et maintien le cycliste au frais. A l’inverse, lorsqu’il fait frais, la chaleur corporelle est stockée puis resituée. La technologie Outlast® est donc une alliée de choix en cas de forte amplitude thermique, réduisant notamment de 30 à 50% les pertes hydriques et entraînant une augmentation de la résistance à l’effort.